Constantin
Tsuvaltsidis a participé à la journée « Carte blanche aux auteurs
noiséens » samedi 28 septembre organisée pour la première fois par la
médiathèque Georges-Wolinski. Retour sur ce rendez-vous exceptionnel.
« Mes
héros sont des héroïnes. Pourquoi ? Parce que j’ai trois filles. Je leur
ai toujours dit que pour réussir dans un monde d’hommes, il fallait qu’elles
soient meilleures que les autres, qu’elles travaillent plus que les
autres. »
« J’ai
mis cinq ans à écrire mon premier livre. Lorsque je l’ai fini, j’ai eu
l’impression d’avoir "enfanté". C’était
mon premier. C’était quelque chose qui me tenait à cœur et, au bout d’un
moment, lorsque je l’ai terminé, il ne m’appartenait plus. »
C’est avec
ces mots que Constantin Tsuvaltsidis s’est exprimé devant une salle comble.
Orateur hors pair, entre dérisions et humour, il a su toucher le cœur du
public.
À
l’occasion de ses 30 ans, la médiathèque Georges-Wolinski a invité une dizaine
d’auteurs noiséens. Romans, nouvelles, poésie, BD, manga… il y en avait pour
tous les goûts. Une première organisée de main de maître par une équipe
chaleureuse et bienveillante.
Une
invitation qui a permis aux auteurs de rompre pendant un après-midi la solitude
de leur métier pour se rencontrer, faire connaissance, échanger sur les
expériences des uns et des autres.
Un moment intense
et très enrichissant.
Dam-Thi
Tsuvaltsidis
Pour en savoir plus :
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